Dans ce dernier volume des Madrigaux, Paul Agnew et Les Arts Florissants achèvent leur exploration de cet étonnant corpus de Gesualdo. Plus encore que dans ses premiers livres, le compositeur se montre ici d’une incroyable modernité, jouant comme personne des dissonances et des chromatismes. L’amour et la mort, les joies et les peines s’embrassent et se heurtent au gré d’harmonies toujours plus audacieuses.

"Au fil de l’aventure, l’ensemble a défini un grain très personnel, ajoutant à sa ductilité et à sa transparence un mordant lumineux." Diapason

"L'intimité acoustique saisissante, qui a caractérisé ce cycle maintes fois primé depuis ses débuts, se retrouve ici dans un nouvel enregistrement captivant." Gramophone